2019 bulldozer1

 

Référendum Pré-du-Stand

NON AU MASSACRE DE LA ZONE AGRICOLE POUR DES BUREAUX VIDES!

 

> Signez et faites signer le référendum: téléchargez, imprimez, signez et renvoyez (PDF)!

 

 

Le projet du Pré-du-Stand c’est :

  • Le massacre et la disparition irrémédiable de 14 hectares de bonne terre agricole
    À l’heure où les habitant·e·s réclament une agriculture de proximité qui permette une alimentation à base de produits locaux, les terres cultivables se font toujours plus rares dans le canton.

  • S’approcher très dangereusement de la limite minimale légale de surface terres cultivables dans le Canton de Genève
    En dessous de cette limite, fixée par la Confédération, il ne sera plus possible de déclasser des terrains non-construits et de les consacrer au logement. Construire des bureaux au Pré-du-Stand, c’est donc empêcher la construction de 2000 logements abordables ailleurs !  

  • La création de 91 000 m2 de surfaces de bureaux supplémentaires, alors que le Canton compte déjà 300 000 m2 de bureaux vides
    La population a besoin de logements abordables dans des zones respirables, pas de bureaux inutiles et de terrains de sport dans des zones polluées!

  • Forcer des jeunes à s’entraîner dans un centre sportif implanté dans une zone polluée inadaptée à l’entraînement intensif
    La proximité de l’aéroport et de l’autoroute engendre une qualité de l’air impropre à l’activité physique. Durant l’effort, l’impact de cette pollution est en effet décuplé, car l’inhalation de l’air est 5 à 10 fois plus importante qu’au repos. Les organes respiratoires en plein développement des jeunes y sont particulièrement sensibles.

  • Un projet qui va à rebours de la lutte indispensable contre le réchauffement climatique
    La protection du climat, c’est aussi la défense des terres agricoles!

  • Un financement par des capitaux de provenance douteuse dans un « partenariat » public-privé hautement problématique
    Ce montage a pris la forme d’un partenariat public-privé (PPP), négocié entre le gouvernement et la société Capvest SA de Magid Khoury, dont on a beaucoup entendu parler dans le cadre de l’« affaire Maudet ».