Après le mai 68 des étudiants chiliens, comment poursuivre la lutte ?

Conférence-débat avec
Sebastian FARFAN SALINAS
ancien responsable national de la CONFECH
(Confédération des étudiants chiliens),
et leader actuel de l’Union Nacional Estudiantil (UNE)

Mercredi 12 décembre
20 h
Buffet de la Gare, Lausanne
Grand salon

Au printemps 2011, le formidable soulèvement de la jeunesse chilienne a donné un exemple à l’Amérique latine et au monde entier, inspirant un an plus tard la révolte des universités québécoises.

Appuyé par une large solidarité syndicale et populaire, il a redonné du courage au mouvement social, qui refuse de baisser les bras ou de se contenter de solutions du moindre mal.

Comment faire face au refus de toute concession de la droite au pouvoir, mais aussi à la tentative, de la part des politiciens du centre gauche, de récupérer cet élan pour revenir au pouvoir en novembre 2013 ?

De 1990 à 2010, n’avaient-ils pas précisément permis l’explosion des inégalités sociales sur une très large échelle, le développement de projets hydro-électriques monstrueux en Patagonie, au détriment du peuple mapuche et de l’environnement, ainsi que le maintien du système éducatif privatisé de Pinochet ?

Pour débattre de ces questions, nous avons invité Sebastian Farfán Salinas, étudiant en histoire de Valparaiso, âgé de 24 ans, ancien responsable national de la CONFECH (Confédération des étudiants chiliens) et leader actuel de l’Union Nacional Estudiantil (UNE), qui s’efforce de regrouper la gauche anticapitaliste étudiante chilienne.

3 décembre 2012, 18:48 | Economie / Education / international / Lausanne

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