Halte au chômage pour les uns, au surtravail pour les autres !

Le chômage, que la Suisse a pu longtemps exporter, est devenu une réalité quotidienne. Il déstructure la société et engendre la misère ou l’exclusion : les plus vulnérables les jeunes, les femmes, les immigré-e-s, les personnes âgées sont les plus durement touchés. Il impose un « partage du travail » dont le coût social est incalculable : le chômage pour les uns, le surtravail pour les autres, mais surtout aucun partage des revenus du capital. De plus, les patrons utilisent le chômage pour diminuer les salaires et faire accepter des conditions de travail toujours plus dures pour les salarié-e-s. On culpabilise les chômeur-euse-s et on les force à accepter n’importe quoi en réduisant les allocations à la portion congrue. C’est inacceptable !