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omcbarriere

• Pour dire STOP au bétonnage des rives du Lac et maintenir la protection de celles-ci.

• Parce que la place d’un grand immeuble de bureaux n’est pas dans l’un de nos plus beaux parcs et que son impact – outre l’abatage d’une série d’arbres – dépassera évidemment sa seule emprise au sol.


• Pour refuser une « barrière de sécurité » et la bunkérisation de l’OMC (comme ils l’ont fait au Palais Wilson, mais en pire) qui défigurera le parc et entravera notre liberté de mouvement et d’accès au bord du lac.

• Pour dire NON au transfert de propriété à l’OMC de cette parcelle publique et NON aux extensions futures qui suivront immanquablement sur le site si on met le doigt dans cet engrenage

• Parce qu’il n’y pas de raison que l’OMC bénéficie de passe-droits que n’a même pas songé à demander le BIT quand il occupait son siège historique dans le bâtiment.

• Parce que notre parc doit rester à 100 % accessible à la population et aux visiteurs·euses, comme lieu de convivialité et de détente indispensable pour tous et toutes.

• Parce qu’il faut créer de nouveaux espaces publics pour les habitant·e·s et non pas en supprimer, comme c’est le cas pour le parc autour de l’ONU où personne n’a pu se promener depuis bien plus d’un demi-siècle.

• Pour refuser le chantageau « départ de l’OMC », qui contredit les déclarations mêmes de ses représentants.

• Pour sanctionner une campagne mensongère et truquée, au financement occulte et disproportionné par les syndicats patronaux.

• Parce qu’il y a des alternatives – déjà étudiées – pour offrir des espaces de bureaux supplémentaires à l’OMC.

• Parce que si l’OMC se déplaçait à terme – au Grand-Saconnex par ex. – on pourrait utiliser le bâtiment pour toutes sortes de choses utiles au service et en interaction avec le public (enseignement, bibliothèques, ONGs, services publics…)

• Pour appuyer les près de 6000 habitant·e·s de la Ville de Genève qui ont signé le référendum, malgré les pressions des autorités.

• Parce que les habitant·e·s de Genève savent aussi dire NON quand il le faut !