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Ces dernières années, la gauche combative n'est pas restée inactive. Mobilisés dans la rue et sur les lieux de travail quand il le fallait, nous avons aussi remporté des victoires en votation populaire :

 

  • En 2010, la population nous a donné raison dans notre bataille aux côtés des syndicats contre l'extension des horaires d'ouverture des magasins : une attaque inacceptable contre les conditions de travail des vendeuses.

  • En 2011, nous avons contribué au rejet d'une amnistie fiscale particulièrement généreuse à l'égard des fraudeurs...

  • En 2012, comme en 2008, suite à des référendums que nous avons fait aboutir, la population a refusé de voir des technocrates privatiser en douce nos régies publiques (SIG, HUG, TPG).

  • Cet été, ce sont plus de 28 000 signatures qui ont été récoltées avec notre aide contre la dégradation des conditions d'accueil dans les crèches.

  • Nous avons aussi bataillé pour les initiatives gagnantes «Pour la mobilité douce» et «Stop aux hausses de tarifs TPG !».

Même quand nous n'avons pas gagné dans les urnes, nous avons participé activement à des batailles importantes :

  • contre la loi liberticide sur les manifestations,

  • contre la suppression du revenu minimum d'aide sociale,

  • pour le droit à un salaire minimum,

  • contre la Constitution trompeuse et rétrograde, etc.

En votant Ensemble à Gauche, vous permettrez le retour d'une gauche combative au parlement, qui a fait cruellement défaut, et qui résistera mieux ainsi à toutes les attaques antisociales. Cela nous permettra aussi d'engager des luttes offensives pour de nouveaux droits!

 

Constitution : reprenons nos droits!

Ensemble à Gauche a été – avec les syndicats et contre tous les partis gouvernementaux – au cœur de la campagne l'automne dernier contre la Constitution trompeuse et rétrograde qui a été acceptée à une faible majorité.

Cette nouvelle constitution sera mise en œuvre lors de la prochaine législature. Notre défi sera d'en limiter les effets négatifs sur la population. Ce texte aux accents néolibéraux réduit les activités de l'Etat à un «complément à l'initiative privée». Nos droits populaires de référendum et d'initiative y sont réduits. Les services publics sont relégués au second plan : l'Hôpital, les Services Industriels, les TPG et la Banque cantonale ont même été escamotés. Enfin, le droit au logement, la protection des locataires, l'interdiction du nucléaire, les droits syndicaux et la plupart des avancées sociales, obtenues par voie d'initiative au cours des dernières années, ont tous été victimes à différents égards du nouveau texte. Dans ce contexte de régression sociale et démocratique sans précédent, ne laissons pas le champ libre aux auteurs de cette constitution rétrograde... Reprenons nos droits !